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Entretien avec Luís Romão de All Residence, Portugal.

04/05/2020

Le partage des expériences et des meilleures pratiques est un élément clé pour la croissance professionnelle. Ainsi, en ce moment unique ou le marché est bien vivant, UCI Portugal vous apporte le témoignage de Luís Romão de All Residence, un partenaire immobilier spécialisé sur le marché des acheteurs internationaux.

UCI : Le Corona virus a supposé des changements importants dans votre vie, et pour chacun d´entre vous. Qu’est-ce qui a changé dans votre façon de faire des affaires ?

LR: Cette question est très technique car elle est en relation avec les outils virtuels que nous devons utiliser pour continuer à promouvoir nos produits et rester en relation avec nos clients.

Ainsi, nous sommes maintenant beaucoup plus conscients de l’importance de ces outils et des plates-formes numériques et virtuelles qui nous permettent de travailler à distance.

Dans notre marché, nous travaillons avec un pourcentage très élevé de clients qui vivent dans d’autres pays ou dans d’autres régions du Portugal. Nous avions bien compris que nous n’étions pas en mesure d’opérer dans un monde aussi global sans ces mécanismes et outils, mais maintenant ils sont absolument essentiels.

 

UCI : Quel a été l’impact de cette situation pour les acheteurs internationaux et leur volonté d’investir dans le marché immobilier de l’Algarve ?        

LR: L’impact a été très important, compte tenu du manque de mobilité des clients et en supposant que personne n’achète une propriété sans pouvoir la visiter.

Nous avons constaté que de nombreux clients ont décidé d´attendre et de reporter leurs décisions, mais les clients qui avaient déjà l´intention d’acheter, les compromis se sont maintenus et nous sommes dans l´étape de leur mise en place.

Je pense que le problème est en plus, logistique et en pourcentage, les investisseurs attendront de voir l´évolution des prix pour essayer de mieux acheter.

On doute beaucoup et on peut entendre nombre de commentaires des économistes qui défendent d´une part, l’idée que le Covid-19 aura le même impact sur le secteur immobilier que celui de la crise de 2008 et d´autre part, d’autres experts qui défendent l’idée qu’après cette étape plutôt compliquée, nous connaîtrons des retours positifs qui équilibreront à nouveau le marché.

Je n’ai pas l’intention de faire de la futurologie mais même si l’impact est très important, notre région en particulier L´Algarve, aura toujours un plus grand attrait et un bon équilibre en raison de ses caractéristiques et du marché international.

 

UCI : Que faites-vous pour préparer votre entreprise à la situation qui se présente ?        

LR:         Notre plan d´actions, après cette crise, ne sera pas très différent de ce que nous faisions déjà dans le passé et une fois de plus je parle d’investir dans des outils numériques qui peuvent nous rapprocher de nos clients et leur apporter un service de proximité et d’excellence. Cette solution soutenue que nous avons toujours utilisée nous permet de faire régulièrement de nouvelles affaires grâce à la recommandation de nos anciens clients. Un client satisfait nous apporte bien souvent de nouveaux clients.

Aujourd’hui, nous avons une offre très diversifiée avec un large portefeuille de propriétés neuves ou en construction, à proximité de la mer ou avec vue sur la mer qui est le produit le plus recherché par les clients internationaux. Je pense que nous sommes bien placés pour faire de notre mieux et lutter contre le problème.

 

UCI: Pensez-vous que, après cela, le marché immobilier sera le même? Qu’est-ce qui va changer pour les acheteurs internationaux ? 

LR: Je ne suis pas aussi naïf pour croire qu’après cela, tout sera pareil ! Cependant, je pense que la reprise de notre marché sur l´Algarve sera plus rapide que partout ailleurs dans le pays.

Les raisons qui conduisent des milliers de personnes de différentes parties du monde à acheter des propriétés en Algarve, ne disparaîtront pas et même elles seront peut-être en mesure de s’accentuer si le panorama international est bien pire que le nôtre.

Après la crise, nous continuerons d’accueillir les acheteurs, nous continuerons aussi à avoir le même climat et la même géographie, la même côte et la même gastronomie. Tout sera pareil qu’hier. Le pire qui peut arriver, c’est que les prix baissent et que les clients puissent acheter à meilleur prix ou voir plus.

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